Melle F. J. subit un dégât des eaux et établit rapidement un parallèle entre sa salle de bains et Beyrouth. Heureusement, elle a dûment adressé sa déclaration à son Agent des Assurances XXXX (pas de publicité dans cette rubrique) et se sent, comme le lui prédisaient du reste les dépliants généreusement distribués par XXX, l'esprit tranquille. Elle est recontactée par un Chargé de Dossier. Qui lui demande quelle est la superficie de la salle de bains, pose des questions ...circonscrites, sur les dégâts. Et propose 300 euros HT pour des réparations faites par les soins de l'impétrante et 500 euros HT en cas d'intervention d'un professionnel. Pour restaurer Beyrouth, c'est faible, ce que l'Assurée tente de faire valoir. En demandant une expertise. Il lui est répondu que : 1)pour les petits dégâts des eaux comme celui-ci la compagnie ne mandate pas d'expert, cela coûte cher. 2)Une évaluation téléphonique suffit "dans la majorité des cas". 3)C'est d'accord ou pas ?
Quelques mails plus tard, un expert se déplacera sur les lieux. Ceux qui disent que le web est une clé de réussite en communication relationnelle ont raison.
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